Welcome,
Guest
|
sacs longchamp 2013 n717 http://www.boutiqueraybanpascher.asia
(1 viewing) (1) Guest
Welcome to the Kunena forum!
Tell us and our members who you are, what you like and why you became a member of this site.
We welcome all new members and hope to see you around a lot!
Tell us and our members who you are, what you like and why you became a member of this site.
We welcome all new members and hope to see you around a lot!
|
TOPIC: sacs longchamp 2013 n717 http://www.boutiqueraybanpascher.asia
sacs longchamp 2013 n717 http://www.boutiqueraybanpascher.asia 12 years, 4 months ago #360
|
"lunette carrera"Après les élections cantonales,longchamp pas cher neuf, les commentaires se sont bornés à apprécier de façon assez basique les résultats électoraux. Une défaite de l'UMP,ray ban, une victoire mesurée du PS et de la gauche dans son ensemble,longchamp pas cher, un succès du Front National qui apparait comme une des principales forces électorales à l'issue de ce scrutin,longchamp pas cher, et surtout une nette victoire des abstentionnistes. Les couteaux sont sortis à droite,ray ban pas cher, sans retenue. Copé attaque Fillon ouvertement sur un plateau de télévision[1]. Les ministres se partagent,ray ban, les uns penchant pour le chef du parti présidentiel,ray ban, l'UMP,ray ban pas cher, les autres pour le chef du gouvernement.
Situation réellement inédite au sein de la 5ème république qui pourtant n'a jamais été très économe des crises en tout genre,longchamp, notamment des déchirements entre partis présents dans le même gouvernement. Là,longchamp pliage, un pas est franchi. Pour une raison simple qui tient à la nature du régime et à ses limites. La 5ème république,sac longchamp, régime présidentiel par excellence,ray ban, ne tient que si le président élu permet,La crise de la 5ème république,ray ban pas cher, pas sa présence et par sa poigne,lunette ray ban, d'éteindre les incendies qui couvent autour de lui. Le fait que nul ne peut calmer aujourd'hui les différents protagonistes qui s'écharpent au plus haut niveau de l'état ne tient qu'à la faiblesse de l'Elysée qui a perdu la main. La plupart des élus ou des responsables politiques qui vénéraient le président il y a peu encore,ray ban, qui le craignaient et qui n'avaient d'autre préoccupation que de ne point lui déplaire,ray ban, s'interrogent aujourd'hui ouvertement. Et si Sarkozy était devenu encombrant au point d'être un handicap pour l'avenir. Il n'a su ni étouffer les scandales à répétition qui depuis une année environ polluent la « marche du régime,ray ban, ni étouffer les voix discordantes qui osent au grand jour s'interroger sur son avenir. Jusqu'à Neuilly,lunette ray ban, lieu symbolique s'il en est,ray ban pas cher, où il a été incapable d'imposer les siens,lunette ray ban, la marraine de son fils notamment,ray ban pas cher, Isabelle Balkany,sac longchamp,La crise de la 5ème république, battue par un illustre inconnu de droite. Dés lors la question qui se pose est la suivante. Ni l'entrée « guerre en Lybie,lunettes ray ban, ni les hélicoptères qui « la côte d'ivoire,longchamp outlet, ni un retardement des hausses de gaz inventé à la hâte. Elles seraient en effet justifiées par le cadre même des élections présidentielles qui sanctionnent « rencontre d'un homme (ou d'une femme) avec le peuple Ainsi donc les primaires reviennent à choisir le meilleur sourire,sas longchamp, le plus beau profil,lunette ray ban, la compagne ou le compagnon le plus attrayant,ray ban pas cher, la famille modèle On voit bien là la voie à la fois absurde et profondément dangereuse que représentent les primaires. ¨ Absurde car expression d'un renversement des priorités au détriment de toute préoccupation démocratique. Car peu importe au peuple qui occupera les voitures de fonction. En effet,ray ban, Martine Aubry a proposé un catalogue exprimant la volonté de mieux gérer le système,lunette ray ban, de « plus égalitaire avec nombre de mesures,lunette ray ban, mais sans cadrer dés le départ les mesures en question par une volonté politique de rupture affirmée avec laquelle il serait impossible pour tout candidat de prendre de la distance. Sans aucun doute il permettrait de rassembler par delà les clivages traditionnels. Mais à l'inverse,La crise de la 5ème république,ray ban pas cher, toute tergiversation, toute hésitation sera susceptible de diviser au sein même des courants de pensée qui devraient se rassembler. Jacques fait bien d'insister sur le caractère purement politique de la crise que nous vivons aujourd'hui en France (comme dans les autres pays européens). Le fond du problème réside effectivement dans l'impéritie des dirigeants politiques français et européens. Ces enfants des années 80 semblent incapables d'avoir un véritable sens de l'Etat, un minimum de sens de l'Histoire et de la citoyenneté. Il est important de souligner ce manque de fond. Les années 60 eurent Mendes-France, De Gaulle et Kennedy, aussi critiquables fussent-ils. Nous avons aujourd'hui David Cameron, Berlusconi, Sarkozy, Strauss-Kahn et Aubry, tous prosternés devant les impératifs de la compétitivité mondialisée, de la concurrence libre et non faussée. Tous admettent que les peuples doivent accepter une certaine part de souffrance, de sacrifice tout au long de leur vie. La notion de progrès, à commencer par le progrès social hérité des Lumières, semble dissoute dans une obéïssance supposée évidente de la part des peuples à ceux qui les exploitent. Que recouvre le mot "GAUCHE" quand on intègre dans son programme la "concurrence libre et non faussée" ? C'est là-dessus que j'ai insisté dans mon article. On peut toujours trouver quelques mesures sympathiques dans le programme du PS mais elles sont microscopiques. Pour pouvoir réaliser le projet politique généreux et émancipateur de Jacques (une république sociale) il faut s'en donner les moyens économiques. C'est l'enjeu incontournable du moment que nous vivons et sur lequel j'ai voulu insister : rien ne sera possible dans le cadre du Pacte européen dont la réelle raison d'exister est le dégagement de profits spéculatifs (de par l'abaissement du coût du travail, la privatisation des services publics, etc.). Un programme réellement républicain et social devrait donc mettre la souveraineté économique au coeur de son programme. La majorité des électeurs français en sont plus ou moins conscients et, de là, sont de plus en plus nombreux à se tourner vers celle et ceux qui s'en réclament le plus ouvertement. Pas plus que l'UMP le PS n'a tiré de leçons du 21 avril 2002 ni du référendum de 2005. Advienne que pourra ! articles connexes: http://qsgct.uueasy.com/read.php?tid=195258 http://www.boutiqueraybanpascher.asia http://www.lunettesraybanpaschere2013.info http://www.ray-banlunettepascher.info/ http://www.raybanaviatorpaschere.info/ http://www.raybanpascherfr2013.pw http://www.lunetteraybansfr.info/ http://rayban-pascher5.webnode.fr/ http://lunetteraybanpascher.blogspace.fr/ |
|
|
Time to create page: 0.39 seconds