«L'essayer,
ray ban pas cher, c'est l'adopter»,
ray ban pas cher, dit l'adage populaire. Il y a fort à parier qu'un joueur de la Ligue de la Californie (A-fort) ne changera pas de marque de bâtons pour un certain temps,
ray ban, et ce,
lunette ray ban, au grand plaisir de Michel Laplante et d'Olivier Lépine.
L'exploit n'avait jamais été réalisé dans l'histoire de cette ligue du baseball affilié. Pourtant,
ray ban pas cher, des légendes comme Reggie Jackson,
ray ban, George Brett,
sac longchamp, Kirby Puckett et Ken Griffey Jr y ont évolué avant d'atteindre les majeures. Qui sait,
longchamp pliage, peut-être n'utilisaient-ils pas les bons bâtons.
Le gérant des Capitales - et l'un des fondateurs de B45 - jouait la carte de la modestie au lieu de se bomber le torse. «Les gens vont-ils savoir qu'il utilisait des B45 ? Probablement pas. L'impact,
ray ban, on le sentira plus autour de lui,
sac longchamp, car ses coéquipiers et ses adversaires vont lui demander avec quoi il frappait pour en avoir,
lunette ray ban, eux aussi»,
lunette ray ban, confiait-il.
Bates,
lunette ray ban, un choix de troisième ronde des Red Sox de Boston en 2006,
sas longchamp, a connu un match du tonnerre le 19 mai,
ray ban, frappant quatre circuits et un simple en cinq présences,
ray ban, produisant six points dans une victoire de 14-12 des siens aux dépens du Storm de Lake Elsinore.
«Oui,
ray ban pas cher, c'est une performance incroyable,
longchamp pas cher, mais est-ce mieux que les 31 circuits et 112 points produits ayant permis à Eddie Lantigua d'être élu au titre de joueur par excellence de tout le baseball indépendant en 2005 ? À sa façon,
ray ban, il (Lantigua) a fait beaucoup pour B45»,
lunettes ray ban, soulignait Laplante au sujet de celui qui avait utilisé le même bâton pendant 156 présences d'affilée avant de le fracasser au sol à la suite d'une troisième prise. Sur le bâton en question, on peut lire : «Il repose en paix», moyenne de ,360, 54 coups sûrs, 16 circuits, 54 points produits.
«Au camp d'entraînement, nous avons remis six bâtons à Bates. Il a téléphoné pour nous dire qu'il les aimait bien. Il n'a pas eu besoin d'en commander d'autres, car avec six, il peut faire un méchant bout de chemin.», indiquait Laplante, dont l'entreprise fournit des B45 à une quinzaine de joueurs de ligues mineures et plusieurs du baseball indépendant. Dans ses archives, Laplante possède aussi une photo de Miguel Tejada (Baltimore) et Luis Castillo (Minnesota) avec les bâtons qu'il fabrique en compagnie de Lépine.
«Notre capital politique n'est pas basé là-dessus, mais sur le bouche à oreille entre les joueurs. Notre clientèle se situe beaucoup plus dans les mineures et le baseball indépendant que dans les majeures. Chaque jour, on regarde les sites Internet du baseball pour vérifier ce que font les joueurs qui utilisent nos produits. Nous sommes fiers, mais on sait aussi que d'autres joueurs font 5 en 5 avec une autre marque que la nôtre», soulignait celui dont l'entreprise basée à Québec a été la première à utiliser avec succès le bouleau jaune.
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